D'accord, l'auteur, modeste des lignes électroniques qui bercent épisodiquement et avec irrégularité les soirées désœuvrées des lecteurs attentifs et tolérants, reconnait volontiers que l'inspiration défaillante est souvent alimentée par la lecture d'une certaine presse légèrement en marge des articles policés de la grande presse à la botte du pouvoir politique en place ! Donc, il n'y a aucune lueur d'intelligence ou de culture qui sourd au fond des hublots désabusés posés sur cet écran en l'instant même mais bien une certaine capacité à plagier de manière éhontée et assumée des auteurs autrement...
A ma gauche, le Fils. Scientifique qui vit quelque part au Groënland, chez les Inuits, pour étudier le changement climatique et pour fuir visiblement ses montagnes transfrontalières avec l'Espagne où vivent, à ma gauche, le Père et la Soeur vu que la Mère vient de rejoindre la voute étoilée. Ils vivent dans une ferme quelque part dans la montagne à la sauce Béarnaise, le Père et la Soeur. Le Père est l'homme qui avu l'ours, ursidé bonhomme lui-même et la frangine est une sorte de garçon manqué qui garde les canards, gave les moutons et tond les oies !!! A la faveur d'un voyage du Père qui quitte...
Petit changement, petit hommage, dérive égocentrique ou délire émotionnel ? Une fois n'est pas coutume, point de critique sociale à deux francs, de conscience politique usurpée ou autre épanchement sociétal... Juste une pensée, volage, fugace mais rémanente... Elle a connu Paris avec des écuries et des calèches, vu des chevaux tirer des voitures puis les chevaux disparaître au profit de cylindres et de bielles qui ont fait avancer les véhicules de plus en plus vite, de plus en plus loin... A peine sortie d'une guerre, dont elle n'a connu que la queue de comète, que l'Humanité rentrait dans une...
Je suis ridé et verdâtre, des doigts gourds et malhabiles m'attrapent et m'extraient avec ménagement mais sans grande délicatesse de l'emballage en papier d'alu opaque qui me maintenait jusque là enfermé, sans voir la lumière, pour ne pas que je m'exprime trop vite ! Je sens maintenant la pression de ces doigts qui me poussent férocement dans une gangue noire, grumeleuse et humide et je me retrouve maintenant de nouveau dans un environnement sans lumière. Je suis soudain baigné dans une ambiance humide par des rigoles diluviennes qui coulent par tous les espaces de ma prison terreuse ! Et là, peu...
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